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Le design des années 70

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Le design des années 70

 

Le style déco des années 70

Le graphisme artistique

 

 

L’une des caractéristiques les plus marquantes du style déco des années 70 est certainement l’utilisation des motifs géométriques ronds et psychédéliques. En effet, tapisseries, sols, chaises et abats-jours en étaient, la plupart du temps, recouverts. Ces années, marquées aussi par l’engouement pour la nature et la modernité, ont également fait naître des designs aux imprimés floraux et aux formes organiques.

 

 

 

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Les couleurs 70’s : acidulé et tonique

 

Les couleurs se voulaient acidulées et toniques dans les années 70. Nous retrouvions principalement du rouge, du orange et du rose; mais aussi des couleurs plus froides avec le bleu, le gris ou encore l’argenté.

 

 

L’apparition du plastique

 

Dans les années 60, les designers découvrent le plastique ABS. Celui-ci comprend de nombreuses qualités car il est à la fois rigide et léger, très résistant aux chocs et peut surtout être moulé. La conquête de l’espace inspire et donne un nouveau style aux accents futuristes. Les formes sont rondes et généreuses et nous retrouvons alors dans le mobilier des œufs, cylindres et sphères.

 

 

Matériaux utilisés

 

À cette époque, la décoration se veut plus peps et colorée que fonctionnelle. Les meubles sont principalement en matériaux synthétiques brillants et translucides comme le plexi, le formica, la résine, l’inox ou bien le verre fumé.

 

 

 

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29/05/2023
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Claude François

 

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Claude François

 

 

 

C’est le 1er Février 1939 que né Claude Antoine Marie FRANÇOIS à Ismaïlia en Égypte. Il sera retrouvé mort le 11 Mars 1978 à 39 ans dans son appartement de Paris.

 

En 1956, suite à l’expulsion de la famille FRANÇOIS d’Egypte, c’est Monaco puis à Nice que la famille tente de se reconstruire, mais vivra dans une certaine pauvreté. Claude FRANÇOIS dort par terre sur le sol de l’appartement, vole à l’étalage, et se nourrit de pains trempés dans de la vinaigrette, ce qui lui cause un ulcère à l’estomac et l’exempte du service militaire.

 

Rapidement Claude FRANÇOIS apprend à jouer de plusieurs instruments comme le piano, le violon et la batterie. Dès 1957, il intègre l’orchestre de Louis FROSIO pour quelques soirées puis est engagé à plein temps par Aimé BARELLI, au Sporting Club de Monaco. Deux ans plus tard, c’est au sein d’un quartet de jazz au casino de Monte-Carlo qu’il montre son talent de batteur. Si son père le soutien pas dans sa démarche de musicien, le rêvant plus en comptable, sa mère le soutien, et le pousse à s’inscrire à l’Académie nationale de musique. Grâce à son travail, Claude FRANÇOIS devient percussionniste, puis chanteur d’orchestre.

 

Après avoir gagné en assurance, poussé par Brigitte BARDOT et Sasha DISTEL, Claude FRANÇOIS décide de monter à Paris en 1961, en compagnie de Janet WOOLLACOTT sa future femme, et c’est à ce moment que la variété connait ses plus belles heures de gloire avec l’avènement des radios et notamment de l’émission Salut Les Copains. Rapidement Claude FRANÇOIS se fait engager dans la formation d’Olivier DESPAX, Les GAMBLERS. Le 16 septembre 1961, Claude FRANÇOIS passe une audition aux disques Fontana, mais ne convainc pas le directeur artistique Jean-Jacques TILCHÉ, qui accepte toutefois une deuxième audition.

 

Dès lors la belle aventure commence pour le chanteur qui en 1962, enregistre son premier disque, sous le pseudonyme de Kôkô. Il interprète “Nabout twist” (en version française et en version arabe), mais si la chanson est bien reçue en Afrique, elle ne rencontre pas le succès escompté en France. En attendant une nouvelle occasion, Claude FRANÇOIS rejoint Les GAMBLERS et joue pendant tout l’été 1962 au Papagayo à Saint-Tropez. Après la saison estivale, à son retour à Paris Claude FRANÇOIS signe avec les disques Fontana, où il sort rapidement son premier grand succès: “Belles ! Belles ! Belles !”, une adaptation de “Girls Girls Girls (Made to Love)”, composée par Phil EVERLY, des EVERLY BROTHERS, et interprétée initialement par Eddie HODGES.

Pour se faire connaitre, Claude FRANÇOIS fait le siège du bureau de Daniel FILIPACCHI à Europe 1, et obtient que son titre passe deux fois par jour dans l’émission Salut les copains tout au long de la semaine, et c’est une réussite, puisque le 45 Tours s’écoule à 1,7 millions d’exemplaires. Pour habiller ce titre, Claude FRANÇOIS demande à Claude LELOUCH de faire son premier scopitone.

 

Rapidement Claude FRANÇOIS enchaine les tournées et les succès avec les titres “Marche tout droit”, “Pauvre petite fille riche”, “Dis-lui” et “Si tu veux être heureux”.

 

En octobre 1963, Claude FRANÇOIS dévoile “Si j’avais un marteau”, version française de “If I Had a Hammer”, composé par Pete SEEGER, et repris avec succès par Trini LOPEZ. Ce même mois, après avoir participé à un Musicorama spécial, Claude FRANÇOIS reçoit, des mains du comédien Maurice BIRAUD, ses deux premiers disques d’or. Tout lui réussit et l’argent étant maintenant présent, il décide en 1964 d’acquérir l’ancien moulin communal de Dannemois dans l’Essonne pour en faire sa résidence secondaire, qui restera un lieu marquant de son histoire. Cette même année, Claude FRANÇOIS se lance dans une grande tournée estivale, suivi du réalisateur Claude VERNICK qui donnera lieu au film “L’été frénétique”.

Après plusieurs passages en tant que première partie, en septembre 64, Claude FRANÇOIS monte sur la scène de l’Olympia en tête d’affiche, et continu a surfer dans la spirale du succès avec les titres “Donna, Donna”, “J’y pense et puis j’oublie”. Il fait alors la connaissance de France GALL, avec qui il aura une liaison jusqu’en 1967.

 

Le 25 février 1965, Claude FRANÇOIS se produit à Abbeville et s’y blesse à cause de l’effondrement de la scène. Ayant plusieurs côtes fracturées, il reste immobilisé pendant plus de cinq semaines. Cette année là naitront les titres “Les choses de la maison” et “Même si tu revenais” et une quinzaine d’autres.

 

1966 marque un tournant dans la vie de Claude FRANÇOIS qui s’entoure de danseuses, ses fameuses Claudettes, qui lui permettra de passer un nouveau cap, et conquérir encore plus de coeur, et déchainer les foules.

En 1967, il compose avec Jacques REVAUX et Gilles THIBAUT, le titre “Comme d’habitude”, dont le texte s’inspire de sa rupture avec France GALL. Le succès est au rendez-vous et la chanson, bientôt reprise par Paul ANKA puis Frank SINATRA sous le titre “My way”, devient un succès mondial qui connaît de multiples reprises.

 

Son contrat avec Philips arrivant à échéance, Claude FRANÇOIS monte sa propre maison de disques Flèche, et signe alors la chanteuse belge Liliane SAINT-PIERRE. Dans la foulée il rencontre Isabelle FORÊT, mannequin de son état qui lui donnera son premier enfant baptisé Claude junior, né le 8 juillet 1968.

 

L’année 69 sera aussi folle que la précédente, avec la naissance de Marc son second fils le 15 Novembre, mais marquera aussi le succès de son retour à l’Olympia durant 16 jours à guichets fermés.

 

En 1970, sa chanson “Parce que je t’aime mon enfant” est adaptée en anglais et reprise l’année suivante par l’acteur Richard HARRIS mais surtout par Elvis PRESLEY sous le titre “My boy”.

 

Le 14 mars 1970, Claude FRANÇOIS a un malaise durant un concert à Marseille. Finalement on apprendra plus tard qu’il s’agissait d’un coup monté en accord avec son producteur. Il part se reposer aux îles Canaries mais à son retour, le 17 mai, il est victime d’un accident de voiture sur l’autoroute près d’Orange. Le nez fracturé, les pommettes éclatées, Claude FRANÇOIS doit subir une rhinoplastie. À peine remis, il repart en tournée avec DANI et C. JÉRÔME.

 

Sa réussite lui permet de s’envoler en 1972, où il enregistre le titre “C’est la même chanson” dans les studios de la Tamla Motown à Detroit. Claude FRANÇOIS se sépare de la mère de ses enfants, avant de rencontrer Sofia KIUKKONEN, une finlandaise, avec qui il reste quatre ans.

 

Malgré la réussite, l’année 1973 est assez agitée et compliqué pour Claude FRANÇOIS, qui au cours de l’enregistrement d’une émissions, se retrouve en insuffisance respiratoire en raison de la déviation de la cloison nasale dont il souffre. Il est hospitalisé et opéré de toute urgence. Quelques mois plus tard, lors du premier concert de sa tournée d’été à Marseille, un fan éméché lui lance une canette de bière au visage. Blessé à l’arcade sourcilière, Claude FRANÇOIS stoppe le concert au bout de 40 minutes. Heureusement la seconde partie de l’année sera bien meilleure, avec la sortie du titre “Le téléphone pleure” vendu à plus de 2,5 millions d’exemplaires.

 

Le 30 juin 1975, Claude FRANÇOIS donne son dernier concert à Paris sous la houlette du journaliste Yves MOUROUSI qui organise un concert au profit de la recherche médicale, devant un public de 30 000 personnes rassemblées au Jardin des Tuileries. Le 17 décembre, Claude FRANÇOIS se produit au palais de l’Élysée pour le Noël des enfants et chante en duo avec le président Valéry GISCARD D’ESTAING.

 

En 1976, Claude FRANÇOIS sort un album destiné aux enfants de “7 à 77 ans”, ainsi que les chansons “Cette année-là” et “La solitude”. Pour Antenne 2, il enregistre l’émission La bande à Cloclo, à laquelle il convie ses amis chanteurs et comédiens et dont il est entièrement l’auteur et qui sera diffusée durant l’été. En septembre 1976, Claude FRANÇOIS sort “Eau Noir” son premier parfum.

 

En 1977, Claude FRANÇOIS enchaine toujours les succès comme “Je vais à Rio”, “Toi le soleil”, “C’est comme ça que l’on s’est aimé” enregistré en duo avec Kathalyn JONES, mais aussi “Magnolias for ever” et “Alexandrie Alexandra”, écrites par Étienne RODA-GIL.

 

Sa réussite dépassera les frontières et Claude FRANÇOIS attaque le marché anglais avec l’adaptation anglaise du “Le téléphone pleure” et fait alors appel à Norman NEWELL et Roger GREENAWAY pour réécrire en anglais plusieurs de ses chansons comme “Monday morning again”, “Love will call the tune”, “My boy” ou pour composer des titres originaux comme “I’m leaving for the last time”, ou “Keep on driving”.

 

Le 16 janvier 1978, Claude FRANÇOIS devient le premier français à se produire au Royal Albert Hall de Londres, devant 6 000 spectateurs. Les 9 et 10 mars 1978, il est l’invité de la BBC dans les studios suisses de la station de Leysin, afin d’enregistrer l’émission Snowtimes, qui devait être diffusée en deux parties: en mai 1978 et à Noël 1978 sur la BBC. Avec les Claudettes, il enregistre ses dernières compositions que sont “The Vagabond”, “Bordeaux rosé”, “Alexandrie Alexandra” le 09, “Day Dreamer” une adaptation franco-anglaise du “Mal aimé”, et deux versions de “I Believe in Father Christmas”, une chanson inédite de circonstance, le 10, qui seront là ces dernières prestations.

 

Claude FRANÇOIS meurt le samedi 11 mars 1978, à 15h, à son domicile parisien du 46, boulevard Exelmans, d’un oedème pulmonaire provoqué par une électrocution accidentelle, en redressant l’applique électrique murale de travers située au-dessus de sa baignoire. À la demande de ses proches, le chanteur est embaumé, comme son idole Elvis PRESLEY et est vêtu d’un costume en velours bleu nuit et d’une simple chemise blanche, avant d’être enterré au cimetière de Dannemois.

 

 

 

Medley 1

 

 

 

 

 

 

 

Medley 2

 

 

 

 

 

 

 

Tubes 

 

 

 

 

 

 

 

Gardons le souvenir de Cloclo avec ses chansons qui nous ont faites chanter et danser. Je ne vous parlerez pas de sa mort Cloclo pour moi est toujours là.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

claude françois notre ami 1978 par guy lux

 

 

 

 

 


29/05/2023
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Les rubettes

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Biographie The Rubettes

 

  

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C'est dans un style très Doo-Wop que les Rubettes se sont illustrés dans

les années 70. Avec à leur actif, "Sugar Baby Love", "I can Do It" ou encore

"Your The Reason Why", le groupe de pop britannique a su séduire le jeune

public français et allemand.

C'est sur les chapeaux de roue que les Rubettes débutent leur carrière. Mick

Clarke (chanteur, bassiste et guitariste), Tony Thorpe (chanteur et guitariste),

Alan WillIAMs (chanteur et guitariste), Bill Hurd (chanteur et claviériste)

et

John Richardson (chanteur et batteur), pour la plupart issue du groupe les

Tremeloes, connaissent le succès dès leur premier titre, "Sugar Baby Love".

Nous sommes alors en 1974, c'est la fin de la vogue glam rock. Ils

parviennent

en cette période à imposer un fort relent rétro appuyé par leurs complets et

bérets Clairs.
Les tubes s'enchaînent, "Tonight", "Juke Box Jive" également en 1974, "I can

Do It" et "Foe- Dee- O- Dee" un an plus tard.
A compter de "Your The Reason Why" en 1976, ils rejoignent l'ex producteur

des Tremeloes, Alan Blakely, et se mettent à composer leurs propres titres, du

moins, Alan WillIAMs et John Richardson.
Ils connaissent un ultime succès avec "Baby I Know", sorti en 1977.

Dès lors, les Rubettes perdent leur superbe auprès du public français et

allemand.
A la fin des années 80, ils parviennent à décroCher un contrat qui

s'accompagne d'un retour sans grand succès.
John Richardson se tourne alors vers le new age et la religion (Hare Krishna)

qu'il intègre également dans sa musique.

En 1992, "Shangri-La", l’album datant de 1979 et qui n’avait jamais été

pressé, sort enfin, dans le cadre de la réédition CD de l’intégrale du groupe.

1999 voit l’ultime reformation des Rubettes, car Bill Hurd et Alan

WillIAMs, qui ne s’entendent plus, choisissent de remonter chacun de leur

côté un groupe.

 

 

 

 

 

 


01/06/2023
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Stevie Wonder

 

 

 

 

 

 

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Stevie Wonder, de son vrai nom Steveland Judkins est un auteur-compositeur-interprète afro-américain, né le 13 mai 1950 à Saginaw, Michigan. Il est aveugle depuis sa petite enfance. Stevie Wonder a vendu plus de 80 millions d'albums et a reçu vingt-deux Grammy awards au cours d'une carrière qui s'étend maintenant sur un demi-siècle.
Rebaptisé Steveland Morris après le second mariage de sa mère, Stevie Wonder maîtrise de nombreux instruments dès son enfance, notamment le piano, l'harmonica ainsi que divers instruments de percussion. Il est découvert par le compositeur Ronnie White, alors membre du groupe The Miracles aux côtés de Smokey Robinson. Wonder enregistre pour le label Tamla Motown dès l'âge de onze ans, son premier album est édité sous le nom de Little Stevie Wonder en 1962. Il obtient rapidement son premier succès avec le single Fingertips, ses compositions apparaissent sur ses propres disques ainsi que sur ceux des autres artistes du label Motown. Il commence à assurer lui-même le rôle de producteur sur l'album Signed, Sealed and Delivered sorti en 1970, qui contient le tube My Cherie Amour. À sa majorité en 1971, il entre en conflit avec son label et obtient une complète liberté artistique.
L'album Music of My Mind sorti en 1972 est entièrement réalisé par l'artiste (composition, chant, instruments, production), qui commence à utiliser des synthétiseurs. Music of My Mind n'est pas composé d'une suite de singles, comme ses albums précédents, mais conçu comme un tout cohérent. Dans les albums suivants, Talking Book et Innervisions, Wonder aborde des thèmes sociaux dans des chansons comme Big Brother ou Living For The City, mais continue de rencontrer le succès avec par exemple le morceau Superstition, qui atteint la première place des hit parades dans les catégories Pop et Rhythm and Blues, ou encore la ballade You Are The Sunshine Of My Life.

Le double album Songs in the Key of Life, sorti en 1976, contient les hits I Wish et Sir Duke (enregistré en hommage à Duke Ellington), qui se classent en tête du classement des meilleures ventes aux États-Unis. En 1980 la chanson Happy Birthday extraite de l'album Hotter Than July milite pour l'institution d'un jour férié national en mémoire du révérend Martin Luther King. La détermination de Stevie Wonder porte ses fruits en 1986 lorsque Ronald Reagan introduit dans la législation américaine le 3e lundi de janvier comme jour férié à la mémoire de Martin Luther King. Sur le même album il rend hommage au chanteur jamaïcain Bob Marley avec le titre Master Blaster (Jammin). En 1982 Stevie Wonder interprète Ebony and Ivory en compagnie de l'ex-Beatle Paul McCartney, la chanson figure sur l'album Tug Of War de McCartney et se classe première des charts britanniques. Avec I Just Called To Say I Love You, composée pour le film La Fille en rouge (The Woman in Red), Stevie Wonder remporte l'Oscar de la meilleure chanson originale ; il obtient également son premier numéro un au Royaume-Uni en tant qu'artiste solo, le titre se classant en tête des charts durant six semaines d'affilée en 1984. Il figure parmi les vingt meilleures ventes de l'histoire au Royaume-Uni. L'année suivante Stevie Wonder fait partie du collectif de quarante-quatre artistes baptisé USA for Africa qui interprète la chanson caritative We Are the World, et réalise l'album In Square Circle qui renferme un nouveau hit, Part-Time Lover. En 1991 il écrit la bande originale du film Jungle Fever réalisé par Spike Lee. L'album A Time To Love sort en 2005, dix ans après son prédécesseur, Conversation Peace.
Moins actif depuis la fin des années 1980, Stevie Wonder reçoit néanmoins une multitude de prix ; ces années sont celles de la reconnaissance. En 1987, il chante un duo avec Michael Jackson présent sur l'album Bad, dans le titre Just Good Friends. Il est intronisé au Rock'n'Roll Hall of Fame en 1989, un Grammy award récompensant l'ensemble de sa carrière (Lifetime Achievement Award) lui est décerné en 1996. Un Grammy Hall of Fame award est décerné au single Superstition en 1998, les albums Talking Book et Innervisions sont primés l'année suivante, ainsi que Songs In The Key Of Life et le single You Are The Sunshine Of My Life en 2002. Au cours de l'année 2006, il collabore avec certains rappeurs tels que Busta Rhymes ou Snoop Doggy Dogg.

 

 

 

 

 

 


01/06/2023
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Martin Circus

 

 

1973

 

 

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À la sortie des émeutes de Mai 68, la jeunesse a besoin de renouveau et c’est ainsi que né le groupe MARTIN CIRCUS, du moins c’est ce que veut la légende. En 1969 le groupe se forme autour du bassiste Bob BRAULT avec le saxophoniste Gérard PISANI qui fut notamment le musicien de Johnny HALLYDAY mais aussi le batteur Jean-François LEROI, le chanteur et guitariste Patrick DIETSCH et le chanteur et clavier Paul-Jean BOROWSKY.

L’aventure musicale démarrera par le titre “Tout Tremblant De Fièvre”, plébiscité par les radios, et donne ainsi une renommée au groupe qui dévoile par la suite “En direct du rock & roll circus”, un premier album suprenant, et qui permettra l’éclosion du groupe sur scène dans différents festivals.

À peine le succès arrive et les divergences atteignent les MARTIN CIRCUS, qui voient les départs de Patrick DIETSCH et de Paul-Jean BOROWSKY remplacés par le guitariste Alain PEWZNER, le batteur René GUÉRIN, le clavier Sylvain PAUCHARD et le guitariste-chanteur Gérard BLANC. Doucement chacun trouve sa place et la “nouvelle” formation enregistre en 1971 le double album Acte II dont est issu le second succès du groupe, “Je M’Eclate Au Sénégal” qui s’écoulera à 800 000 exemplaires et donne ainsi une autre dimension au groupe, qui se voit récompenser d’un Triumph Group Musical.

La route se poursuit pour les MARTIN CIRCUS qui enchainent les concerts et les festivals jusqu’en 1974, assurant par la même occasion les premières parties d’artistes majeurs comme Johnny HALLYDAY, Jacques DUTRONC, Claude FRANÇOIS ou bien encore Claude NOUGARO. Trois ans après l’album, MARTIN CIRCUS insuffle un nouveau vent de folie avec La Révolution Française, le premier Opéra Rock, dont ils sont les héros aux côtés notamment d’ANTOINE et d’Alain BASHUNG, et qui fera salle comble durant deux mois au Palais des Sports.

Le temps de se renouveler est arrivé l’année suivante avec l’enregistrement d’un nouvel album, où les MARTIN CIRCUS ont décidé de reprendre à leur sauce des titres rock des années 60, nommé “N°1 USA – Hits des 60s” qui donnera naissance au plus grand tube du groupe “Ma-Ry-Lène” qui se vendra à plus de 1,5 million d’exemplaires, qui n’est autre que le tout aussi culte “Barbara Ann” des BEACH BOYS.

À l’orée des années 80, MARTIN CIRCUS sait qu’il faut une fois encore trouver ce qui va faire la différence. Tout en assurant toujours les premières parties d’artistes comme Michel SARDOU, Joe DASSIN ou bien encore DAVE, MARTIN CIRCUS participe au film “Les Bidasses en vadrouille”, et écrivent la Bande Originale du film, qui donnera ainsi naissance au titre “Disco Circus” premier virage du groupe qui s’oriente alors vers le Disco, mouvement phare de la décennie à venir, et qui débouchera sur l’enregistrement de l’album “Shine Baby Shine”.

Dès 1980, MARTIN CIRCUS abandonne le son Disco, et renoue avec le rock qui a fait son succès avec l’album “De Sang Froid”, mais l’engouement du public n’est plus au rendez vous, notamment à cause de la multiplicité des genres à cette époque. Si le groupe continue encore de se produire sur scène, tous les membres décident de prendre des routes différentes, et collaborer avec d’autres artistes.

Après 15 ans de carrière, et plus de 200 titres à son actif, le groupe MARTIN CIRCUS se sépare définitivement, mais les membres resteront toujours très liés. Gérard BLANC, qui nous a quitté en 2009 fera en sorte de perpétuer la légende du groupe avec la sortie de plusieurs anthologie durant les décennies 1990 et 2000.

 

 

 

 

 


01/06/2023
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Louis de Funès 70 : les plus grands thèmes

 

 

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Louis de Funès est un acteur français né le 31 juillet 1914 à Courbevoie et mort le 27 janvier 1983 à Nantes. 

 

 

 

Louis de Funès 70 : les plus grands thèmes

 

 

Les musiques de ses films sont souvent comme était Louis de Funès : vibrionnantes, exaltées et percutantes. Coup de projecteur sur la période des années 70 à travers quelques madeleines pop et kitsch signées Raymond Lefevre, François de Roubaix ou Vladimir Cosma.

 
 
 
Les musiques de ses films sont souvent comme était Louis de Funès : vibrionnantes, exaltées et percutantes. Coup de projecteur sur la période des années 70 à travers quelques madeleines pop et kitsch signées Raymond Lefevre, François de Roubaix ou Vladimir Cosma.
 
Une décennie très faste, aussi, pour Louis de Funès dans cette libre adaptation de "Ruy Blas" de Victor Hugo où l’acteur, qui joue le très cupide Don Salluste, s’en donne à cœur joie face à son valet incarné par Yves Montand, qui a remplacé Bourvil pressenti à l’origine mais disparu quelques mois auparavant. Avec 5,5 millions d’entrées, le film, sorti fin 71, sera un colossal succès en salles, un de plus pour le duo Oury-de Funès depuis "Le Corniaud" en 1965.
 
 
 

 

 

 

Si vous êtes un fidèle de La Symphonie du cinéma, vous vous souvenez sans doute, je le disais en préambule, de l’émission complète que j’avais consacrée début mars à Louis de Funès à travers les années 60, les plus grandes années pour l’acteur, ponctuées de succès majeurs tels que "Le Corniaud" ou "La Grande Vadrouille" mais aussi de deux rôles qui allaient être déterminants : celui de Ludovic Cruchot dans la série du Gendarme et celui du commissaire Juve dans la trilogie des Fantomas.
Nous survolerons donc le sujet pour mieux nous arrêter sur d’autres films, à l’image de" Jo", comédie policière signée Jean Girault, sortie également en 1971 dont on doit la partition musicale à Raymond Lefevre, l’indissociable compositeur des grands succès de Jean Girault et donc du Gendarme…  dont nous venons d’entendre le générique du cinquième et dernier volet de la saga : "Le Gendarme et les extraterrestres" en 1979, qui mettait ainsi fin à neuf ans d’absence sur les écrans de la célèbre brigade de gendarmerie de Saint-Tropez.

 

 

RAYMOND LEFEVRE, LA MUSIQUE à SON EXCELLENCE

 

 

 

 

 

Raymond Lefèvre signe pour Jo une partition très jamesbondienne pourrait-on dire mélangeant cordes et orchestration symphonique. "Jo", c’est l'histoire d'un maitre chanteur qui menace de dévoiler un secret sur la femme d'Antoine Brisebard, auteur comique à succès, joué par Louis de Funès. Résolu à se débarrasser de ce corbeau encombrant, il va prétexter l'écriture d'une pièce policière afin de recueillir les ingrédients du crime parfait auprès de son ami avocat. Louis de Funès s'entoure une fois de plus d'acteurs familiers parmi lesquels Claude Gensac, qui a déjà interprété son épouse dans 5 films, et de Michel Galabru, son alter ego de la serie des Gendarmes. "Jo" marque également la huitième collaboration entre Louis de Funès et Jean Girault, son réalisateur porte-bonheur, depuis… "Pouic-Pouic" en 1963.

 

 

 

« L’HOMME ORCHESTRE » : FRANçOIS DE ROUBAIX à LA BAGUETTE

 

 

 

 

 

"La Chanson des poupons", tirÄ—e de "L'Homme orchestre", est une petite madeleine kitsch avec les voix de Louis et Olivier de Funès dans ce film de Serge Korber qui sort sur les écrans le 18 septembre 1970. L'histoire d’Evan Evans, directeur tyrannique d'une compagnie de ballet, épiant le moindre fait et geste de ses danseuses et par conséquent leur vie sentimentale. On doit la bande originale très réussie à François de Roubaix qui compose pour l'occasion des thèmes et intermèdes très pop donnant à cette petite parenthèse comico-musicale franco-italienne une délicieuse couleur vintage. Je vous propose d'écouter à présent une autre pépite vintage, toujours pour un film de Serge Korber, où l'intrigue s'enroule, pour ainsi dire,  cette fois-ci autour d'une voiture échouée sur un arbre.

 

 

 

LES ANNéES VLADIMIR COSMA

 

 

 

 

 

"Moto en folie" est une variation symphonique du célèbre thème du "Grand Rabbi", tirÄ— des "Aventures de Rabbi Jacob", film que l'on ne présente plus, qui fait un triomphe en salles en cette première moitié des années 70. C'est aussi la quatrième collaboration entre Louis de Funès et Gérard Oury, et aussi la dernière. 20s
Venons-en aux derniers grands succès de la décennie de Louis de Funès à commencer par "L'Aile ou la cuisse", une satire de la société de consommation à travers la dénonciation des méthodes d'un industriel de l'agroalimentaire peu regardant sur la qualité de ses produits. Le film sera une totale réussite et révélera Coluche dont la carrière s’envolera par la suite au cinéma.

 

 

 

 

 

 

 

 

 


02/06/2023
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John Travolta

 

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John Travolta est né le 18 février 1954 à Englewood (New Jersey), est un acteur, chanteur, danseur et producteur de cinéma américain.

 

Issu d'une famille d'acteurs, il abandonne ses études au lycée, pour se lancer dans la comédie. Il connaît son premier succès grâce à la série TV Welcome Back, Kotter (de 1975 à 1979). Son rôle de lycéen décontracté (Vinnie Barbarino), va le suivre jusqu'au début de sa carrière au cinéma dans des films tels Carrie au bal du diable (Brian De Palma, 1976), Grease (adapté de Broadway, 1978), et, dans une mesure plus sérieuse, La Fievre du samedi soir (1977), dans lequel il surfe sur la vague disco en interprétant le rôle du danseur/étudiant Tony Manero, qui lui vaudra une première nomination à l'Oscar.

La suite de sa carrière est chaotique et parsemée d'échecs retentissants contrastants singulièrement avec ses précédents succès : Blow out (Brian De Palma, 1981), dans lequel il est Jack, technicien du son détenant la preuve d'un meurtre, Staying Alive (1983), une vaine tentative de renouer avec le triomphe de La Fievre du samedi soir, ou Second Chance (1983), pour lequel il retrouve sa partenaire de Grease, Olivia Newton-John.

Il effectue un semblant de comeback grâce à Allo maman ici bébé, succès surprise de l'année 1989, une comédie romantique pour laquelle il interprète le chauffeur de taxi au bon coeur James Ubriaco. Son vrai retour (la suite d'Allo maman ici bébé, Allo maman c'est encore moi en 1993 est un échec), il le fait dans le Pulp Fiction de Quentin Tarantino, où son rôle de gangster Vincent Vega lui permet d'obtenir une autre citation à l'Oscar en 1994.

Depuis, il a reprit plusieurs fois des rôles de méchants, notamment dans des films d'actions comme Volte-face (1997), et Broken Arrow (1996) de John Woo, ou Opération Espadon, en 2001. Il s'attaque également à la science-fiction dans Terre, champ de bataille (2000), tout en ajoutant à son palmarès une dimension dramatique grâce à Phenomene (1996), ou Prejudice (1998). En 2001, il est à l'affiche du thriller L'Intrus, avant de partir à la recherche d'un ranger de l'armée américaine dans le drame Basic (2001), de John McTiernan. En 2003, il tourne pour la première fois dans l'adaptation d'un comic, The Punisher, dans lequel il incarne Howard Saint, un homme d'affaire véreux et sadique qui est l'ennemi juré du Punisher.

En 2004 il tient le rôle d'un capitaine des pompiers aux côtés de Joaquin Phoenix dans Piège de feu. Puis on le retrouve dans Be Cool accompagné d'Uma Thurman. Et c'est les cheveux gris qu'il donne la réplique à Scarlett Johansson dans Love Song en 2006. Il travaille ensuite avec Todd Robinson dans Coeurs perdus où il enfile l'imper et le chapeau de l'inspecteur Elmer C. Robinson lancé aux trousses d'un couple séduisant mais mortel interprété par Jared Leto et Salma Hayek. La même année, John Travolta part pour un road trip à moto (Bande de sauvages), puis se grime en femme et pousse la chansonnette dans Hairspray, dont le succès relance (une nouvelle fois) l'acteur.

Après avoir donné de la voix en chien héroïque issu des studios Disney(Volt, star malgré lui), il devient preneur d'otages dans un train en 2009, et mène L'Attaque du métro 123 face à Denzel Washington, et sous la direction de Tony Scott.

 

 

 Ses 2 films incontournables et je pense que tout le monde sera d'accord  sont "Grease et "La fievre du samedi soir".

 

 

 

Grease 1978

 

 

 

 

 

 

La fièvre du samedi soir 1977 (musique les Bee Gees)

 

 

 

 

 

 

Grease

 

 

 

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Date de sortie : 3 octobre 1978 (France)

Réalisateur : Randal Kleiser
Adaptation de : Grease

Pays de production : États-Unis

 
 
 
 

Durant l'été 1958, Sandy Olsson, une étudiante australienne en vacances aux États-Unis, rencontre Danny Zuko, le chef de la bande des T-Birds. Leur amour est cependant interrompu par la fin des vacances car Sandy doit retourner en Australie.Toutefois, le hasard fait que Sandy reste en Amérique et qu'elle intègre le lycée Rydell, le même que celui où étudie Danny. Elle y rencontre un groupe de filles, les « Pink Ladies », mené par Betty Rizzo. Sans savoir qu'ils sont tout proches, Danny et Sandy racontent, chacun de leur côté, à leurs amis leur amour de vacances. Danny et Sandy finissent par se rencontrer et décident de reprendre leur relation bien que tout les oppose au lycée...

 

 

 

 

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 Les retrouvailles Dany et Sandy

 

 

 

 

 

 


02/06/2023
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Dave

 

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Dave LEVENBACH, de son vrai nom Wouter Otto LEVENBACH, est un chanteur néerlandais né le 4 mai 1944 à Amsterdam, d’un père israélite, convertit au protestantisme, professeur d’anglais, et d’une mère danseuse classique. DAVE a deux frères, Maarten et Lucas, ainsi qu’une sœur Elsbeth. Outre le néerlandais, DAVE parle couramment le français, l’anglais, l’italien et l’allemand.

 

À 14 ans, DAVE a appris à jouer de la guitare et du piano avec son père. DAVE a été très influencé musicalement par les EVERLY BROTHERS ; il n’avait pas d’idole mais aimait écouter Gene PITNEY et Roy ORBISON. À 16 ans, DAVE a une crise mystique et envisage de faire des études de théologie. DAVE entame des études de droit pour être celui que l’on écoute.

 

Bien qu’étudiant, DAVE choisit en 1965 de ne pas s’engager dans la vague Provo (équivalent néerlandais de Mai 68). Passionné par la mer et les rivières (il tient cela de son grand-père), DAVE quitte les Pays-Bas, à l’automne, par les canaux jusqu’à Marseille, sur un bateau à fond plat, avec 1 000 florins en poche (de quoi vivre à peu près deux mois).

 

En 1963, à 19 ans, DAVE enregistre à Londres son premier 45 tours. Il sera commercialisé en 1964 et uniquement aux Pays-Bas. Son nom de scène sera DAVE RICH. En 1968, DAVE commence sa carrière grâce à Eddie BARCLAY qu’il vient de rencontrer à Saint-Tropez. L’année suivante, DAVE participe à la sélection néerlandaise pour le Concours Eurovision de la Chanson. Sa chanson “Niets Gaat Zo Snel” termine 3ème sur dix candidats. La même année, DAVE rencontre Mick MICHEYL avec qui il écrira “Le long des quais”.

 

C’est en 1971, que la carrière prendra son envol avec sa participation à la comédie musicale “Godspell” qui connaîtra un franc succès jusqu’en 1974.

C’est là que DAVE fera notamment la connaissance de Daniel AUTEUIL qui deviendra son meilleur ami. En 1974 DAVE publie “Trop beau”, une adaptation du tube “Sugar Baby Love” des Rubettes, et enfin “Vanina” (plus d’un million de 45 tours vendus) adapté par Patrick LOISEAU du “Runaway” de Del SHANNON lequel reprend le thème du dernier mouvement du concerto pour violon d’Igor STRAVINSKY.

Les tubes s’enchaînent alors, en 1975 “Mon cœur est malade”, puis “Dansez maintenant”. Son premier album sort à la fin de cette année en même temps que le tube “Du côté de chez Swann”. En 1977 c’est “Est-ce par hasard ?”, puis en 1978 sa “Lettre à Hélène” est un nouveau succès, tout comme “Comment ne pas être amoureux de vous”. En 1979, DAVE dévoile “Allô Elisa”. Maritie et Gilbert CARPENTIER lui consacrent un prestigieux “Numéro Un”. DAVE est alors classé dans les “chanteurs à minettes”, comme Patrick JUVET, Christian DELAGRANGE, Mike BRANT ou Frédéric FRANÇOIS.

 

Les années 80 seront plus difficiles, DAVE fait ses débuts au cinéma où il jouera son propre rôle dans “L’esprit de famille” de Jean-Pierre LANG dont il signera la musique. En 1982, DAVE réitèrera l’expérience cette fois pour la télévision dans un feuilleton en six épisodes “Dickie-Roi” d’après le roman de Françoise MALLET-JORIS.

 

En 1993, DAVE sort un nouvel album éponyme.

Puis en 1994, il fait son retour, amorcé par le succès de sa compilation sortie en 1994 (plus de 200 000 ventes). En 1995, DAVE pourra ainsi enregistrer un nouvel album inédit intitulé “Toujours le même bleu”, porté par le single “Boulevard des sans-amour”.

Dès cette époque, DAVE ne fait plus aucun secret de son homosexualité. Cette même année, DAVE fait un caméo dans “La cité de la peur”, le film des Nuls. En 1996, DAVE tourne une pub pour le fromage de son pays, les Pays-Bas (“Il parait que DAVE n’aime pas les Dames” / “DAVE aime l’Edam”). Ce retour aussi réjouissant qu’inattendu, notamment sur les plateaux de télé où son sens de l’autodérision fait merveille, le pousse durant l’été 1996, à devenir présentateur de l’émission “Salut les Chouchous” sur TF1, aux côtés de SHEILA. L’album “DAVE classique” voit alors le jour, la réalisation d’un de ses vieux rêves : enregistrer quelques-uns des grands thèmes de la musique classique.

 

En mai 2001 et 2002, DAVE commente pour France 3, les 46ème et 47ème Concours Eurovision de la chanson aux côtés de Marc-Olivier FOGIEL.

DAVE a aussi co-présenté l’émission “Domino Day” avec Flavie FLAMENT, sur TF1. DAVE révèle avec pudeur l’histoire d’amour qui l’unit depuis plus de trente ans à son parolier et compagnon Patrick LOISEAU.

En 2003, DAVE participe à l’Olympia à la Rose d’Or, aux côtés de Nicole CROISILLE ou d’Esther GALIL.

En 2006, DAVE sort, sous le nom de Dave LEVENBACH (comme pour se racheter une virginité ou faire plus chic), un nouvel album “Tout le plaisir a été pour moi”.

L’année suivante, il dévoile un album live “DAVE refait un tour” reprenant les chansons de ses concerts donnés à l’Européen.

En 2004, c’est l’opus “Doux tam-tam” qui verra le jour, puis “Tout le plaisir a été pour moi” deux ans plus tard.

L’été 2009, DAVE anime sur Europe 1 en compagnie d‘Aline AFANOUKOÉ, une émission sur les 25 ans du “Top 50”. Puis, sur Arte, DAVE participe à une rétrospective des années 80 appelée “Nighting eighties” au cours de laquelle il reprend les chansons de EURYTHMICS “Sweet Dreams” et de A-HA “Take On Me”, avec des arrangements d’Albin DE LA SIMONE. L’image de DAVE est devenue plus classe que par le passé.

 

Au début des années 10, DAVE participe à la nouvelle campagne de Old Dutch Master, les fromages hollandais, et se produit à l’Olympia de Paris. DAVE devient aussi l’un des juré de l’émission “La France a un incroyable talent” sur M6.

En 2011, DAVE apparaît en guest star du clip “Coming Out” du groupe FATALS PICARDS, et un nouvel album intitulé “Blued-eyed Soul!”, produit par la Motown, sort fin novembre. DAVE y reprend ses plus grands succès, réorchestrés dans le style soul, avec les producteurs de BEN L’ONCLE SOUL. Il voulait appeler ce disque “DAVE la Tante Soul”, mais ce n’était pas du goût de son label. Par ailleurs, DAVE co-anime avec Sandrine CORMAN la série d’émissions “Les années 80 : le retour”, “Les années 90 : le retour” et “Les années 2000 : le retour”, sur M6..

En 2013, DAVE est l’invité d’honneur et parrain de la huitième saison de la tournée “Âge tendre et Têtes de bois”..

En 2018, DAVE rejoint la chaîne de télévision Melody afin de présenter une nouvelle émission : ‘Les parents du petit écran’.

Très populaire en France, ce francophone est moins connu aux Pays-Bas, son pays d’origine. DAVE, considéré pourtant comme l’interprète d’une demi-douzaine de tubes, aura toujours dévoilé ses disques signés sur de grands labels, de Barclay à CBS, en passant par Sony ou Warner.

 

 

 

 

 

 

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Tubes de Dave 

 

 

› Affaire étrangère

› Allô elisa

› Amoureux

› Après tout

› Avec ou sans toi

› Avion blanc

› Boulevard des sans-amour

› Calme

› Chair inconnue

› Changez rien pour moi

› Comment ne pas être amoureux de vous ?

› Copain ami amour

› Dansez maintenant

› Dernier regard

› Derrière un sourire

› Dommage

› Doux tam-tam

› Du côté de chez swan

› Du côté de chez swann

› Est-ce par hasard ?

› Et demain

› Fais-moi l'amour

› Heureusement que la musique est là

› Hurlevent

› Il n'y a pas de honte à être heureux

› L'année de l'amour

› L'attraction des cœurs

› La belle endormie

› La cigarette qui me brûle les doigts

› La décision

› La fête

› La la la

› Le kiosque à musique

› Le marchand de rêves

› Lettre à hélène

› Lutèce et le nouveau monde

› Mille et une vies

› Mon cœur est malade

› Mon regret le plus tendre

› Ophélie

› Plus ça va, plus je t'aime

› Portrait de vous

› Pour que tu me comprennes

› Quel que soit le coin de terre

› Quelle belle vie

› Raconte-moi des mensonges

› Sous les cyprès

› Sur mon étoile

› Tant qu'il y aura…

› Trop beau

› Une autre terre (je veux m'en aller)

› Vanina

› Week-end

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Medley Dave

 

Les plus grands succès de Dave 

 

-Dansez maintenant

-Est-ce par hasard -

-Mon coeur est malade

-Lettre à Hélène

-Vanina

-Du côté de chez Swann


05/06/2023
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